[gtranslate] Mercredi de la Cinquième Semaine du Temps ordinaire - Eglise Catholique Saint James (Saint Jacques)

Mercredi de la Cinquième Semaine du Temps ordinaire

 » Qui sait quel mal se cache dans le cœur des hommes ? »Ainsi va cette célèbre ligne du personnage de bande dessinée The Shadow et comment un résumé approprié pour le passage de l’Évangile d’aujourd’hui.

Les pharisiens ont beaucoup insisté sur les rituels et les règles plus qu’ils n’ont enseigné le principe et la signification de ce que ces rituels et règles signifiaient. Eux et les gens à qui ils prêchaient étaient tellement pris par ces rituels et ces règles qu’ils négligeaient la subsistance spirituelle de leurs propres âmes.

Nous pouvons aller à la Messe et prier les mêmes prières tous les jours, mais Jésus nous rappelle que nous ne devons pas dépendre de la Messe et des prières que nous récitons pour nous guérir du péché ou devons-nous les réciter pour nous faire devenir des gens plus saints et justes. Le vrai nous dépend de ce que nous pensons et de ce que nous apprécions vraiment. C’est de notre cœur que nous réalisons qui nous sommes vraiment et comment nous influencons ceux qui nous entourent.

Dans la première lecture, nous lisons comment la reine de Saba a été si impressionnée par la sagesse de Salomon qu’elle l’a loué et lui a donné des cadeaux coûteux. Cependant, l’histoire se termine avec le retour de la reine dans son propre pays sans vraiment dire comment elle a appliqué ce qu’elle a appris.

Demandons-nous aujourd’hui comment appliquons-nous à l’action ce que nous entendons de la messe et des prières que nous récitons ? Réfléchissons-nous et cherchons-nous le message et la vraie signification des paroles de Jésus ? Prions-nous notre Sainte Mère non pas parce que c’est notre habitude de prier le Rosaire ou parce que nous demandons son intercession mais parce que nous voulons sentir sa présence et l’amour de son Fils en nous?

Enfin, rappelons-nous de ne pas laisser le mal se cacher dans nos cœurs, mais plutôt de permettre à la bonté et à la pureté de l’amour de Dieu de croître en nous