[gtranslate] Saint Robert Bellarmin (Évêque et médecin) - Eglise Catholique Saint James (Saint Jacques)

Saint Robert Bellarmin (Évêque et médecin)

St. Robert Bellarmine (Bishop and Doctor)

Saint Robert Bellarmin (1542-1621) a joué un rôle majeur dans la Réforme catholique. Né en Italie, il est ordonné prêtre dans l’Ordre des Jésuites en 1570. Il a enseigné comme professeur à l’Université de Louvain en Belgique, tout en se consacrant à l’étude des Écritures et de l’histoire de l’Église, et il a défendu l’autorité de l’Église contre les attaques et les contre-revendications des protestants.

Robert a essayé d’adopter une approche modérée des problèmes du jour. Il a défendu la position de l’Église et a souligné les erreurs protestantes, mais d’une manière qui reposait sur la persuasion, pas sur la polémique. Il a plaidé contre le  » droit divin des rois — – la croyance que l’autorité royale vient directement de Dieu. Il a ainsi indirectement promu la possibilité d’une pensée démocratique moderne, provoquant la colère des rois d’Angleterre et de France dans le processus.

Robert a été affecté au Collège romain en 1576 et en est devenu le recteur en 1592. En 1597, le pape Clément VIII l’a fait cardinal parce que, comme il l’a dit, “il n’a pas son égal pour l’apprentissage. »Bellarmin a été archevêque de Capoue de 1602 à 1605 et a été le premier à y établir des séminaires pour la formation des futurs prêtres.

C’est Robert qui a réprimandé Galilée quand il semblait que les théories de l’astronome étaient en conflit avec les Écritures (bien qu’il ait en fait défendu Galilée contre des critiques encore plus sévères et qu’il soit resté personnellement amical avec lui). Saint Robert Bellarmin mourut à Rome le 17 septembre 1621, et fut plus tard canonisé et déclaré Docteur (un enseignant éminent et fiable) de l’Église.

Graceful living

De Johnnette Benkovic Une Vie gracieuse: Des Méditations pour Vous aider à Vous rapprocher de Dieu Jour après Jour

La prospérité et l’adversité, la richesse et la pauvreté, la santé et la maladie, les honneurs et les humiliations, la vie et la mort, dans l’esprit du sage, ne sont pas recherchés pour eux-mêmes, ni évités pour eux-mêmes. Mais s’ils contribuent à la gloire de Dieu et à votre bonheur éternel, alors ils sont bons et doivent être recherchés. S’ils nuisent à cela, ils sont mauvais et doivent être évités.

– Saint Robert Bellarmin, Sur l’Ascension vers l’Esprit de Dieu

Quelle joie et quelle tristesse actuelles Dieu m’a-t-il permis de contribuer à mon bien?

D’Autres Saints Dont Nous Nous Souvenons Aujourd’Hui

  • L’empreinte des Stigmates de Saint François d’Assise (1224)
  • Sainte-Hildegarde (1179), Abbesse